Le président français François Hollande a assuré vendredi que «la résolution ne rencontrera aucun obstacle» lorsqu'elle sera présentée au Conseil de sécurité.

Le principe de l'envoi d'une force militaire internationale au Mali pour en déloger les islamistes armés qui occupent les deux-tiers de son territoire et menacent la région semble acquis, mais les obstacles liés à sa composition, ses capacités et son financement demeurent.
 

Le Rassemblement National pour la Réforme et le Développement (TAWASSOUL) a dans une déclaration de presse affirmé son soutien à « l'intégrité territoriale de la République du Mali, tout en préservant les droits de toutes les composantes du peuple malien et le traitement de toutes les injustices dont la région de l’Azawad était victime. »

Par ailleurs, Tawassoul, qui rappelait que «  les erreurs du régime de Mohamed Ould Abdel Aziz et ses malheureuses interventions dans les affaires maliennes ont été parmi les causes de cette situation où des groupes de la violence et de l'extrémisme ont dépassé toutes les limites »  a demandé aux pays voisins, à l'Union Africaine et aux Nations Unies de déployer tous les efforts et d’exercer toutes les formes de pression sur « les frères protagonistes » pour s'asseoir à la table des négociations et résoudre leurs problèmes par le dialogue et le règlement à l'amiable plutôt que de recourir à la force et à la violence.

Selon Biram Ould Dah, l’Initiative de la résurgence abolitionniste (IRA), "après avoir été abandonnée par ses alliés politiques", entend créer une aile politique pour rassembler ses sympathisants. Dans une déclaration de presse, dont copie est parvenue à l’ANI, le leader de l’IRA a appelé ses sympathisants à procéder à un vote sanction, au cours des prochaines échéances électorales contre les politiques en accordant leurs voix aux candidats de l’IRA.
Biram a dévoilé l’intention de l’initiative de créer une formation politique qui bénéficiera de son appui sans pour autant qu’il en soit membre.

Une des grandes maladies du Mali est la confusion entre l’univers des renseignements et celui de la prise des décisions par les gouvernants. On peut sans nul doute situer ce tournant à l’après-démocratie dans notre pays.

Il nous revient d’attester que déjà en 2009 l’alerte avait été donnée sur l’imminence d’une rébellion qui se préparait en Mauritanie. Les autorités d’alors avaient été informées et par négligence, elles n’ont pas accordé un grand crédit à ces informations. Voilà que nous sommes attaqués maintenant par les mains armées par la France de Sarkozy et la Mauritanie et vilipendés par leurs médias. Enquête !

Fièvre du Rift en Mauritanie - Au moins sept cas de fièvre du Rift ayant fait quatre morts ont été enregistrés en Mauritanie au cours des derniers jours, a indiqué jeudi le ministre de la Santé  Bâ Housseinou Hamady.

«La contamination de cette fièvre a été établie suite à des analyses effectuées en laboratoire. Deux cas ont connu la guérison et un autre est actuellement en cours de traitement au Centre hospitalier national de Nouakchott (CHN)», a-t-il déclaré au cours d'une réunion du gouvernement.
 

Dans le cadre d’une consultation restreinte pour l’achat de 30 000 bouteilles, la SOMAGAZ a envoyé par email à 5 sociétés savamment sélectionnée a-t-on appris de sources informées.

Les mêmes sources ont indiqué qu'aucune grande société mondiale n’a été contactée et le plus étonnant et qu’on a demandé aux soumissionnaires de faire leurs propositions par mail.

La Direction a pris des enveloppes et elle a mis les soumissions à l’intérieur comme s’il venaient du soumissionnaire et elle les a fermée et soumis au comité des marchés après avoir impliquer un proche du sérail qui a lu toutes les soumissions et a fait une proposition moins disante ajoute une source fiable.