Il s’est produit à ould Mbony au nord ouest du Guidimakha, dans la nuit du jeudi 26/4/2007 un différend qui a opposé des jeunes et un autre frôlant la quarantaine de la famille camara. De cette dernière a résulté une agression qui fait couler des salives. Esclavage ou récupérations politiques ?. Un retour sur les faits s’impose pour mieux cerner la question :
L’agression dont est victime D Camara fait suite à une banalité consécutive à l’agitation d’une malade mentale du nom de B D qui allait s’évader après son retour des soins de la localité d’Ajar. Cette dernière insultait et traitait d’esclaves les personnes qui l’ont neutralisée et reconduit. Aux dires des uns, c’est pour avoir repris les propos de cette dernière au téléphone et en public que D camara , la quarantaine, est agressé non loin d’un lieu de commerce où il se trouvait par M Diallo et H. Diallo se sentant indexer par ses propos. Des politiques et /ou soit disant cadres qui profitent de tout pour se faire entendre interférant ont cherché à compliquer les faits.
Le coordinateur de l’AMDH sur les lieux des faits a demandé une résolution à l’amiable. De réclamer dans une correspondance adressée au procureur de la république près du tribunal régional de Sélibaby l’application de l’article 19 de la loi 031 -2015 criminalisant l’esclavage et ses pratiques sur la personne de D Camara en cas d’existence des preuves palpables de profanation des propos injurieux en public contre X. En attendant, les deux parties sont renvoyées au mardi ,2/5/2017.
Amadou Bocar Ba