Nicolas, vous resterez éternellement petit !
"Mon intention est d’encourager la liberté de la presse et la liberté d’expression de tous les Mauritaniens. Malgré toutes les insultes dont j’ai pu être victime. Je pense que les personnalités publiques qui n’acceptent pas ce principe devraient changer de métier"
Le Président de la République, Mohamed Ould Abdel Aziz, Lors d’une rencontre avec, une délégation de Reporters sans frontières, le 27 octobre 2009, à Paris ;
Je suis parfaitement dans mon rôle ! Je suis en mesure de dire la vérité sur le mensonge et la vénalité de Nicolas Beau.
Mes amis et moi avons réussi au milieu des années 90, à faire triompher, en France, pays des droit de l’homme, la cause de notre peuple écrasé et réduit en miettes par une dictature qui roulait au rythme d’éliminations physiques, tortures, censures et bannissements.
Avec mes Amis, j’ai réussi à gagner la confiance de journalistes talentueux et crédibles, pour dévoiler le vrai visage d’une théocratie à laquelle s’accrochaient, avec enthousiasme et conviction, quelques nostalgiques des déboires de Kant et de la négation coloniale aux Peuples libres de prendre en main leur destinée.
Durant plus d’une décennie de résistance, j’ai personnellement sollicité Nicolas Beau pour qu’il s’intéresse à la Mauritanie et aide à relayer son combat en France. Notre « Ami » s’est révélé petit en exprimant son indifférence aux oppositions « pauvres ».
Depuis, beaucoup d’encre a coulé, entretemps les militants de la liberté ont terrassé la bête de la dictature sur la Terre des Hommes. Mes Amis et moi, l’opposition historique progressiste ainsi que la communauté internationale, avons jugé que le Dictateur s’en est allé … Et nous nous sommes engagés à une application concrète des revendications érigées en programme de gouvernance, fort d’une massive adhésion populaire.
Ce projet, pour lequel des Mauritaniens ont perdu la vie et d’autres la liberté, a été, en fin de compte réalisé par un citoyen mauritanien qui a réellement risqué sa vie pour que la liberté d’expression triomphe en Mauritanie. Grâce à S. E. Mohamed Ould Abdel Aziz, Président de la République, les Mauritaniens se sont réconciliés et ils combattent désormais les séquelles de l’esclavage, tous les jours.
Il a rendu aux Mauritaniens leur dignité et rétabli ainsi la gloire d’une Nation, légitimement héritière d’un apport de savoir et de sagesse à la civilisation universelle.
Avec regret et dégoût, j’ai rencontré Nicolas Beau, lors de son unique séjour en Mauritanie. Je me suis imaginé à tort et de bonne foi que Nullement Beau Nicolas aurait retrouvé une conscience digne du personnage. A l’instant-même, un ami journaliste parisien, m’a mis en garde :
« Nicolas a reçu de l’argent de la part d’un homme d’affaires mauritanien, vivant à l’étranger, pour qu’il ternisse l’image du pays et s’acharne contre la Personne du Président de la République, Mohamed Ould Abdel Aziz »*. J’ai, à partir de cet instant, compris que Nicolas beau n’était qu’un mercenaire, payé à coups de dizaines de milliers d’Euros pour ternir l’image d’un pays qu’il ne sait même pas situer géographiquement, dans ses torchons crasseux et haineux, rédigés par les stagiaires de Marianne avant que celui-ci ne le vire pour incompétence. Nicolas, le passionné de délation, acquis aux histoires de vieilles-filles, m’a attribué dans son « papa Hollande au Mali » des propos que je n’ai jamais tenus. Fidèle à son goût prononcé de la diffamation et à sa haine des Hommes Intègres.
Il pensait réussir à faire passer ses mensonges éhontés, en citant un Officiel plus crédible que l’orthographe immérité de son nom !
Monsieur « MondAfrique », vous n’arrivez pas à la cheville ni de la Mauritanie, ni de son Président et les deux sont trop importants pour être contenus par votre ‘Plume ‘de délateur, éternellement dévalué, tel des petits billets de CFA !
Abdallah Hormatallah, Journaliste, Ancien Réfugié politique en France
* LA LETTRE DU CONTINENT, N°706 DU 20/05/2015 (Pourquoi "Mondafrique" charge Ould Abdel Aziz)