Au cours d’une conférence de presse animée ce mardi 19 janvier à l’Hôtel Khatter, Mohamed Jemil Mansour a appelé les responsables de la Fondation Errahma a apporté des éclaircissements par rapport à la gestion de leur fondation.
Selon lui, ces responsables - en continuant à observer le silence - laissent croire que les accusations de blanchiment d’argent portée contre leur fondation - relayées par les médias ces derniers temps – sont fondées.
Jemil Mansour s’est en outre attaqué à la flambée des prix de denrée de première nécessité et à ceux du carburant qui, à ses yeux, ne justifient pas.
Il a dénoncé la fermeture des mahadras dans plusieurs localités du pays. Le président de Tawassoul a également abordé les questions du passif humanitaire et de l’esclavage en appelant les pouvoirs publics à s’activer pour que le pays dépasse ces questions.
Enfin, il a réclamé la libération de Biram Dah Abeid et Brahim Bilal Ramdhame ainsi que la reconnaissance de leur parti (le RAG) et des Forces progressistes du changement (FPC) dont Samba Thiam est le président.
CRIDEM