Face à la « crise des réfugiés », depuis la fin de l’été, les observateurs pressés s’interrogeaient sur la direction qu’allait prendre l’Union européenne (UE) : pencherait-elle du côté du respect des « valeurs communes » défendues par la « généreuse » Angela Merkel ouvrant ses bras aux réfugiés syriens ou s’abîmerait-elle en suivant le « scandaleux » Viktor Orbán murant les frontières de la Hongrie afin d’empêcher l’arrivée de ces mêmes demandeurs d’asile ?

