L’Agence Alakhbar.info a rapporté selon son correspondant au Hodh El Gharbi que deux fillettes sont mortes lundi dans le village "Boualnas" relevant de la commune d’Aïn Farba dans le département de Tintane. Toujours selon la même source la mission dépêchée par le ministère de la santé est allée sur les lieux et a enregistré jusque-là 27 cas d’infection due à une maladie qui a été caractérisée comme étant l’«Azzhuri»

La rougeole qui s’est déclarée dans plusieurs localités de la wilaya du Hodh El Gharbi a déjà fait 3 morts alors que plusieurs autres malades attendent dans les centres de santé d’Aioune. C’est ce qu’ont rapporté des sources médiatiques lundi dans la matinée.

Des sources médiatiques ont rapporté lundi qu'une maladie provoquant des boutons sur la peau semblable à  la rougeole se propage au sein des populations de certaines localités de la wilaya du Hodh El Gharbi. Ces mêmes sources ont indiqué que le ministère de la santé a dépêché une mission dirigé par le chef du service chargé des maladies contagieuses M.Mohamed Lemine Ould Sidi. Cette mission devra sur place s’atteler à maîtriser la situation.

Cette réunion du comité de haut niveau désigné par l’Union africaine (UA) pour traiter la crise libyenne. Ils devaient être quatre chefs d’Etats, seuls deux ont finalement fait le déplacement. Il y avait là Denis Sassou Nguesso du Congo Brazzaville et Amadou Toumani Touré du Mali. Musévéni et Zuma se sont fait représentés par leurs ministres des affaires étrangères.

Comme d’habitude – au moins depuis les deux derniers sommets consacrés à la Côte d’Ivoire – la réunion a eu lieu au Palais des Congrès. Du point de vue de l’organisation et de la logistique, rien à dire. Avec en plus cette sensation de détente qui a caractérisé ces rencontres, pourtant pressantes. C’est dire que sur le plan de la sécurité et du protocole, la Mauritanie a gagné en maturité.

(Agence de Presse Africaine )Le panel des 5 pays désignés par l’Union africaine pour trouver une solution à la crise en Libye n’a pas été autorisé à venir dans ce pays, a indiqué ce panel dans un communiqué sanctionnant ses travaux samedi soir à Nouakchott. Le panel « a, conformément à la résolution 1973 (2011) du Conseil de sécurité des Nations unies, demandé l'autorisation nécessaire pour le vol devant conduire ses membres en Libye aux fins de mener à bien son mandat », a indiqué le communiqué, ajoutant que « cette autorisation lui a été refusée ».

La communauté internationale a adopté le rapport soumis à l’étude par la Mauritanie en Novembre au groupe de travail chargé de l'a révision périodique globale.Cet évènement a eu lieu en présence de Mohamed Abdallahi Ould Khatra, commissaire des droits de l'homme, à l’action humanitaire et aux relations avec la société civile, présent à Genève à la tête d’une délégation mauritanienne dans la capitale suisse.

Des informations ont fait état que les forces de sécurité maintiennent depuis plusieurs jours en détention l’ancien directeur de la SONIMEX Mahfoudh Ould Agatt. Celui-ci avait répondu à une convocation de la police chargée des crimes économiques et financiers alors qu’il venait de rentrer d’Aouin.

Des partisans de Kadhafi en Mauritanie s’en sont pris à la France et au Qatar, les mettant en garde contre les conséquences de toute intervention militaire en Libye.

Selon le site Alakhbar qui a rapport cette information, les formations politiques pro Kadhafi ont appelé ceux qu’ils on désigné comme « les libres du monde » à assumer leur responsabilité face à l'affrontement ; allusion à l’éventualité d’une intervention des pays occidentaux avec l’aval de certains Etats arabes.

De sa cellule l’ancien directeur des PROCAPEC, Ahmed Ould Khatry a appelé à manifester mardi devant le palis de justice de Nouakchott. Et ce selon lui en protestation contre la perpétuation de l’injustice et l’incapacité de la justice à imposer le droit et à rétablir dans leur droit les personnes détenues arbitrairement.

Moustapha Ould Bedredine député de l’UFP, un des principaux partis de l’opposition mauritanienne a déclaré vendredi que trois commerçants se sont accaparés de 80% des besoins du marché national.

Intervenant au cours d’une conférence à Nouadhibou, ville portuaire et capitale économique du pays, le député a souligné qu’un de ces trois commerçants s’arroge les 50% des importations effectuées sur le marché.