es quatre présidents du panel de l'Union africaine (UA) sur la crise ivoirienne ont rencontré lundi après-midi à Abidjan le chef de l'État sortant Laurent Gbagbo, a constaté un journaliste de l'AFP.

La plupart des victimes ont été tuées à Benghazi, deuxième ville du pays à 1.000 km à l’est de Tripoli, mais selon des témoins joints par l’AFP, des heurts sanglants ont éclaté samedi à Musratha, à 200 km à l’est de la capitale.

Depuis l’an 2000, le 21 février est devenu une date à retenir dans l’agenda des amoureux des langues : l’UNESCO l’a en effet proclamée Journée internationale de la langue maternelle. Célébrée dans les Etats membres de l’institution internationale,

« Heureusement que c’est vous qui jouez le rôle de médiateur ! » lance à l’endroit de quelques mauritaniens un des diplomates impliqués dans le panel de haut niveau réuni à Nouakchott dimanche 20 février 2011 au palais des congrès.  Comme pour rappeler le ballet de Dakar, la rencontre de Nouakchott a rassemblé autour de Mohamed Ould Abdel Aziz ceux qui étaient venus entre 2008 et 2009, faire les bons offices en Mauritanie alors que celui-ci était aux prises avec une classe politique opposée à son coup de force contre Sidi Ould Cheikh Abdallahi et décidée à le faire faire échouer dans son ambition de se faire élire Président de la République Islamique de Mauritanie.

Après une série de réunions précédant et suivant la visite de Kaédi, de Mbout et Lexeiba d’une mission conjointe du bureau exécutif du parti et de son bureau national des jeunes, la coordination de Alliance Populaire Progressiste fait part de son inquiétude face à la situation de crise sans précédent que traverse le parti en ce moment où le rendez-vous est autour de la conjugaison des efforts afin de relever les défis de l’esclavage et du racisme d'Etat qui en raison desquels le parti a son sens d’être.

Le parti Hatem (parti pour l’union et le changement en Mauritanie) a refusé de participer à la marche à laquelle ont appelé les partis de l’allégeance rassemblés dans ce qui est connu sous le nom de ‘’coordination du travail arabe et musulman en Mauritanie’’

La critique adressée aujourd’hui par le député de Bassiknou, Vihlman Ould Ghacha, aux manifestants de Fassala, qu’il n’a pas hésité à traiter « d’inconscients », a provoqué une vivre polémique au sein de l’Assemblée nationale où une session a été consacrée à l’interpellation de certains ministres du gouvernement par des élus.

Le président de la section du parti UPR à Fassala, Mohamed Ould Sidi Ould Hanena, a déclaré que les manifestations que la ville a connues vendredi « sont des protestations contre la gestion du maire et non une révolte contre le pouvoir », selon ses propos.