Mauritanie : Menace Ebola sur la Mauritanie : Le navire de la mort refoulé ! |
Refoulé au départ par le Sénégal, de crainte d’une contamination du virus, déjà confirmée par des milieux officiels dakarois, le bateau a finalement pris le cap pour Nouakchott pour débarquer son « riz » empoisonné. C’est d’autant vrai que cette marchandise provenant du Libéria présente un risque très élevé d’être à l’origine d’un désastre pour les mauritaniens, peu consciencieux en matière de prévention sanitaire et ultra-consommateurs du riz dans toutes ses espèces depuis la marque « avariée » de l’ancien Premier ministre Yahya Ould Ahmed Waghef à celle du riz « Aziz », distribuée à des prix abordables dans les boutiques EMEL. Le dernier riz d’Aziz est s qualifié par des consommateurs de difficilement digérable pour les citoyens aux estomacs faibles, entrainant des complications eupeptiques courantes dues à la résistance de cette matière à la cuisson. A propos de la menace fort probable d’Ebola de laquelle notre pays a été sauvée de justesse par la grogne sociale, le confrère Cridem, indique le Port autonome de Nouakchott aurait été obligé par la Confédération libre des travailleurs de Mauritanie (CLTM) de renvoyer le navire de la mort. « Le paquebot - venant d’un pays où l’Ebola sévit - avait pour destination le port de Dakar mais puisque les autorités portuaires dakaroises ne voulaient qu’il débarque sa cargaison dans leur port, son capitaine a usé d’un subterfuge pour parvenir à ses fins » ajoute le confrère. Il s’agissait de débarquer ladite cargaison au port de Nouakchott et de l’acheminer ensuite vers la capitale du Sénégal par la voie terrestre indique le portail. « Il aurait pu réussir son coup si les dockers du Port autonome ainsi que la CLTM ne s’étaient pas activés pour que son bateau soit renvoyé au Liberia, dit en substance Samory Beye » conclut-il. Sans disposer des informations pour authentifier ces nouvelles, il y a lieu d’interpeller les autorités à assumer leurs responsabilités sanitaires en la matière, puisqu’il ne servirait à rien de fermer des frontières pour éviter la contamination du pays par Ebola déjà à nos portes depuis la confirmation d’un cas au Sénégal, si des mesures draconiennes ne sont pas prises également au niveau des accès aériens et marins, toujours poreux. le-rénovateur.com |
Mardi, 02 Septembre 2014 12:59 |