La Mauritanie ne serait vraisemblablement pas à l’abri de la tragédie sociale de la vie lesbienne qui enregistre des avancées considérables hors de nos frontières notamment dans les pays arabes et musulmans tels que l’Iran.

C’est l’intellectuelle My Moustapha qui semble confirmer de manière catégorique l’existence de ce phénomène en Mauritanie, brisant le tabou pour interpeller un sursaut général des mauritaniens gouvernants et gouvernés pour faire front à ce virus dévastateur des civilisations et des communautés.

My Moustapha qui refusait de croire à la présence de lesbiennes en Mauritanie, inscrivant les propos relatifs à cette maladie  dans le cadre strict de la propagande visant à porter atteinte à la bonne image de l’Islam, a eu la regrettable surprise de constater, au cours d’un séjour fait à l’Est du pays,  que des femmes partagent vie conjugale et sentimentale au vu et au su de tous,  sans susciter le moindre déni de la part de la société ni de leurs parents.

My Moustapha était convaincue que la société mauritanienne était propre et cuirassée contre cette folie, avant d’être choquée par le train ordinaire de ces filles qui s’acceptent sous le label de l’amitié mais qui en réalité se fréquentent pour des raisons de dépravation sociale liée à leur vie lesbienne.

Des informations obtenues par les soins de My Moustapha indiquaient que les filles étaient engagées  dans une relation amoureuse exercée au domicile de l’une d’entre eux, avec des penchants similaires.

En raison de la déficience de la culture conjugale, My n’a finalement osé opter pour dénoncer ces agissements aux parents des filles lesbiennes, certaine qu’ils ne vont pas comprendre l’ampleur de la catastrophe.

Face à cet Ouragan qui menace le pays tout entier et gangrène progressivement la société comme une maladie attaque le corps, My Moustapha a appelé les mauritaniens, qui n’ont pas réussi à créer le consensus politique, à affronter main dans la main cette menace.

A son avis, le drame est énorme et suscite la mobilisation générale des dirigeants et des administrés, des parents, des enseignants et des scientifiques, des médecins et des intellectuels afin de lutte ensemble contre ce virus « ce cancer qui a ravagé les structures sociales d’ailleurs » dit-elle.

« Les intellectuels, les jeunes et les femmes et même les politiciens doivent tous sortir dans les rues afin d'expulser tous les homosexuels qui occupent les centres de décision au niveau du pouvoir, au sein de la société » souligne-t-elle, précisant que lesbianisme n’est qu’un  cancer curable si la société y fait front dans l’union et la détermination.

« Nous pouvons sauver les filles et traiter  cette maladie, mais je suis angoissée, parce que je trouve que ce sujet n’attire l’attention de personne » se demandant si la Mauritanie attendra  le moment où cette vile pratique sera exercée publiquement et difficile à combattre où malheureusement, la Mauritanie sera la destination de tous les assoiffés du péché dans le monde, des inconditionnels d’un troisième genre Laghadara Allah.

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