Dans le cadre de nos efforts d’éclairer l’opinion publique nationale sur les manœuvres malintentionnées de quelques meneurs ou commanditaires de contestations, nous commençons par mettre à nu les trafiquants d’influences qui ne font en réalité qu’attiser ces volontés malintentionnées.

Le règne de l’ancien président Maawiya avait ostensiblement été caractérisé par le favoritisme, le clientélisme et le trafic d’influence. Et malheureusement ces corollaires du sous développement social et culturel continuent de colorer l’ensemble de nos activités publiques et individuelles.Et ce, malgré l’ambitieux programme de l’actuel président de lutter contre ces maux. Parmi les démonstrations de ces vicieux maux sociaux le trafic d’influence qu’exercent quelques ONGs de la société civile est aujourd’hui flagrant.Plusieurs observateurs et responsables d’ONGs se plaignent du favoritisme d’une minorité d‘organisations de la société civile qui sirotent les apéritifs des grandes compagnies industrielles étrangères telles MCM et Tasiast limited. Ces compagnies étrangères qui devaient présenter des études d’impact se sont limitées à acheter l’indifférence de cette minorité d’organisations en les associant à des partenariats bidon.Rien ne se cache dans ce pays. Et l’on parle que parmi de ces responsables d’ONGs jouant avec le trafic d’influence il y aurait quelques uns qui se disent proches ou parents du président des pauvres, le président Aziz. Certes le président Aziz ne peut en aucun cas pardonner ou accepter ces enrichissements illicites. Mais les soi-disant responsables d’ONGs sont habitués à agir dans le sens des intérêts personnels restreints sans scrupules.Nous invitons à travers ces quelques lignes les autorités concernées à mettre fin à ces agissements de portée lucratives incompatibles à l’essence et aux objectifs des ONGs non gouvernementales. A suivre dans les prochains épisodes inchallah.

Mohamedou Ould BoydiyeSociologue et journaliste indépendant Cette adresse email est protégée contre les robots des spammeurs, vous devez activer Javascript pour la voir. source : chroniques Wadanaises