Sœur Hartanya, le message était bouleversant et mérite une réponse claire loin des clans traditionnels inter-mauritaniens ou chacun veut tirer la part des bonnes choses montrant l’autre du doigt accusateur.

En faisant le choix de se représenter pour la 3ème fois aux élections présidentielles, Monsieur Ibrahima Moctar SARR, président de l’AJD/MR a fait preuve de la constance de son engagement et de sa détermination comme le candidat de la vérité, de la justice et de la démocratie.

Le scrutin du 21 juin 2014, qui a conduit à la réélection du Président Mohamed Ould Abdel Aziz pour un nouveau mandat, s’est déroulé, au témoignage du millier d’observateurs nationaux et internationaux, qui ont surveillé l’élection présidentielle mauritanienne du 21 juin 2014 dans un climat de « transparence et d’apaisement ».

Félicitons aux électeurs  et électrices du 21 juin 2014, ils sont presque 9%  de la population adulte qui ont refusé les offres de corruptions ayant voté en faveur du  candidat Biram Dah

Au vu du tournant opéré en Mauritanie et fortement marqué par l’avènement d’une véritable ère de réconciliation nationale, d’une adhésion affichée à un islam tolérant, de relance économique unanimement reconnue, de volonté de dialogue et de construction nationale,

La campagne  électorale a commencé depuis le 06 juin 2014 à minuit et le citoyen lambda a constaté deux candidats diamétralement opposés, l'un répond au nom de Mohamed Ould Abdel Aziz avec les moyens de l'état,l'administration et des Ministres de l'état en campagne dans nos villes,villages et bourgades ,

Dans un article que j'avais écrit au début de l'année 2014, j'avais interpellé par mes modestes moyens, par  un cri du cœur, qui consistait à attirer l'attention de nos dirigeants politiques sur les risques et les dangers de la prochaine élection présidentielle  2014.

La campagne électorale a commencé  de plus belle  et deux camps s’affrontent et pourtant deux  camps d’une même logique, d’une même appréhension et d’une même analyse sur le bilan chaotique du président Abdel Aziz.

La campagne électorale est lancée. Depuis le vendredi 6 juin à 0 heures. Dans une morosité totale. Si l’on excepte Nouakchott – Tevragh Zeïna, devrais-je plutôt dire, les autres moughataas pauvres ne semblent guère concernées par ce « sport de riches » – et Kaédi où le président-candidat a entamé sa tournée, dans le reste du pays, c’est comme si rien n’a changé. L’ambiance bon enfant, la ferveur partisane et la bonne humeur, qui ont marqué les campagnes précédentes, sont, cette fois, totalement absentes.