Jamais, un recensement n’a fait autant de bruits en Mauritanie… Celui qu’administre, Mohamed Ould Boilil, le Ministre de l’Intérieur et de la Décentralisation est tout simplement abject et infâme.

L’initiative condamne toute action terroriste occasionnant la perte des vies humaines et particulièrement les combats qui se passent actuellement à Oagadou au Mali.

Des combats se sont déroulés ces jours ci opposant  certaines unités de l’armée  en territoire malien dans le foret d’Oagadou avec des éléments d’Al Qaida.

L’urgence nous prend à la gorge. Notre pays s’enfonce, dans l’indifférence quasi générale et la connivence d’une partie des élites, dans les sables mouvants du chaos.

« Les observateurs avertis ont pu suivre la situation de crise qui secoue l’APP depuis quelques mois suite au revirement politique spectaculaire du président de ce parti, Monsieur MESSAOUD OULD BOULKHAIR.

Tout d’abord l’initiative rappelle c'est dommage que la Mauritanie, le monde Arabe et Africain a raté l'occasion de soutenir la candidature d'une femme pour l'histoire des peuples et des pays, les médias nationaux et internationaux ont minimisé cette candidature du monde d'aujourd'hui que je suis admise ou non peut importe, l'essentiel est que c'est une première candidature de la Présidente Salka Mint Sid'Ahmed au poste de Secrétaire Général des Nations unies, oui je peux bien l’être.

Le 12 décembre dernier (2010), le gouvernement adoptait le décret n° 2010-268 portant sur la tarification de la terminaison d’appel des communications téléphoniques internationales entrantes pour la Mauritanie. Il s’agit d’une manne qui a toujours échappé au pays. Comme d’autres pays africains, la Mauritanie a décidé de recouvrer son entière souveraineté sur cet aspect des communications internationales.

Nous avons constamment insisté sur l’implication réelle des ONG Nationales de développement durable afin d’admettre leur participation, en tant qu’acteurs, à l’élaboration des politiques environnementales.

C’est une histoire que je raconte chaque fois que cela me paraît nécessaire. Il ne faut pas que ceux qui l’ont déjà lue (ou entendue) m’en veulent. C’est une histoire réelle qui enseigne quelques valeurs, et renseigne sur quelques comportements des Mauritaniens d’avant.

(J’ai choisi de vous faire relire ce texte paru dans l’édition du 1er mars 2009, N°438. La paresse et le dépit passager y sont pour quelque chose)  

Quelqu’un me racontait l’histoire suivante : quand un mangeur de tortues tombe sur une belle tortue, il se dit, tout sourire, «yallali, j’ai trouvé une tortue que je vais bien assaisonner avant de la manger» ; quand il la transporte en la mettant sur sa tête, la tortue se dit toute joyeuse «enfin j’ai trouvé quelqu’un qui va me porter et sur la tête duquel je vais pisser».