Désormais on a comme impression que ce pouvoir s’est assigné comme objet principal de créer le chaos général dans le pays voire dans la sous-région. Le mot d’ordre semble être donc puisque vous ne voulez plus de moi, -vous allez voir ce que voulez voir- « Après moi ça sera le déluge ». C’est cette stratégie progressive qui paraît être le crédo de ce régime. Sinon comment expliquer l’acharnement de ce pouvoir à détruire tout ce qui représente le fondement même de ce pays et à contribuer à enflammer la sous-région?

En réaction à ce qui se passe entre les autorités et les étudiants, négro africains pour la plupart d’entre eux, le Forum des Organisations Nationales des Droits de l’Homme a écrit ce qui suit dans une déclaration rendue publique dimanche 19 février 2012 :

« Le devoir d’un révolutionnaire, c’est la lutte toujours, la lutte jusqu’à extinction ». Auguste Blanqui

Qu’a-t-on rectifié en Mauritanie depuis ce petit matin de 6 Août 2008 ? Pas grand-chose. L’arrivée au pouvoir du Président de la République, Mohamed Ould Abdel n’a pas apporté, finalement des grandes mutations dans les mœurs et les coutumes connues. Au contraire, sa façon de diriger le pays nous ridiculise de l’intérieur comme à l’extérieur. S’il eût à rectifier, c’est sans doute ce fameux communiqué mettant fin à ses fonctions militaires ainsi que certains généraux.

République Démocratique de Mauritanie

A l’occasion du nouvel an 2012, l’initiative nationale pour la sauvegarde de la constitution souhaite une bonne et heureuse année à tous les mauritaniens particulièrement le président Maaouiya Ould Sid’Ahmed Taya, Mohamed Ould Abdel Aziz, le premier ministre Moulaye Ould Laghdaf et l’ensemble de son gouvernement. Elle présente également le président de l’Assemblée nationale, Messaoud Ould Boulkheir,

La Mauritanieà l’instar de la zone sahélo saharienne vit une situation difficile par la sécheresse qui sévit dans toute la sous région. A ce facteur climatique se joint la menace terroriste qui constitue aujourd’hui un défi majeur dans la zone, où il y a eu des enlèvements des otages au Mali, au Niger et en Algérie. Face au spectre de la sécheresse, la Mauritanie compte mettre sur pied un plan d’urgence pour parer à ce fléau. Le futur plan doit s’inspirer du d’urgence préconisé par le président Maaouiya Ould Sid’AHMED Taya en 2003. 

La Mauritanieà l’instar de la zone sahélo saharienne vit une situation difficile par la sécheresse qui sévit dans toute la sous région. A ce facteur climatique se joint la menace terroriste qui constitue aujourd’hui un défi majeur dans la zone, où il y a eu des enlèvements des otages au Mali, au Niger et en Algérie. Face au spectre de la sécheresse, la Mauritanie compte mettre sur pied un plan d’urgence pour parer à ce fléau. Le futur plan doit s’inspirer du d’urgence préconisé par le président Maaouiya Ould Sid’AHMED Taya en 2003. 

A l’occasion du 28 novembre, l’initiative nationale pour la sauvegarde de la constitution félicite l’ensemble du peuple mauritanien de 51^ème anniversaire caractérisé par un défilé organise par le président Mohamed Ould Abdel Aziz sans précèdent à l’image du 14 juillet de la république française. Le dernier défilé militaire data de 2000 , sous le règne de du président Maaouiya Ould Sid’Ahmed Taya, attestant de la nécessité de réorganiser l’armée, le défilé de ce 51^ème anniversaire dénote du parachèvement de cette  réorganisation entamée depuis,  avec le partenariat de la France et de l’Amérique.

Inal. Symbole du racisme et de la barbarie d’un régime génocidaire. Le 28 novembre 1990. Fête de l’indépendance. La Mauritanie venait d’avoir 30 ans. 28 militaires négro – mauritaniens furent pendus à Inal. C’était pour célébrer 30 ans de souveraineté ! Le régime de Taya avait ainsi atteint le degré le plus haut de l’oppression contre ses propres citoyens. Ce qui s’est passé à Inal n’est rien d’autre qu’un génocide.  Un génocide dans la mesure les victimes ont été intentionnellement massacrées.

L’Initiative Nationale pour la Sauvegarde de la

Constitution propose des amendements sur la Constitution du 20 Juillet 1991 qui était prévu par l’ancien  président Maaouya, ces recommandations sont les  suivants :

CHAPITRE I :