Cridem : L’Etat mauritanien, par l’entremise du ministre des affaires islamiques, a décidé de mener une enquête pour localiser les tombes de toutes les personnes disparues dans des « conditions ambiguës » depuis 1960. Quelles réactions ça suscite chez vous ? Et, pensez-vous que cette mesure, comme annoncé, contribuera à consolider l’unité nationale ?
Localiser les tombes des mauritaniens décédés dans des circonstances « ambiguës » sur toute la période de l’existence de l’Etat mauritanien est une mesure extrêmement importante. Je voudrais donc féliciter et encourager les autorités à aller dans ce sens.
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INTERVIEW - L'un des avocats de Dominique Strauss-Kahn, Benjamin Brafman, a donné une interview au quotidien israélien Haaretz, dans lequel il confirme que l'ex-patron du FLMI plaidera non coupable...
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Dans cette nouvelle édition de « Projecteurs » de l’AVOMM, nous recevons Monsieur Biram Dah Abeid, figure emblématique de la lutte contre l’esclavage dans notre pays.
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Ingénieur Principal en électricité et Docteur en Technologie industrielle, Dr. Khalil Ould Khalifa est professeur à l’Université de Nouakchott. Connu pour ses idées novatrices dans le domaine scientifique et des énergies renouvelables, il a publié plusieurs analyses dans la Presse et est l’auteur de plusieurs communications. Ce qui n’en fait pas moins un intellectuel averti sur les questions politiques, économiques et sociales. Aujourd’hui, interpellé sur une question d’actualité, il aborde le thème de l’esclavage en Mauritanie..
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OCVIDH : Vous n’êtes certes plus à présenter sur scène la politique mauritanienne, mais nous aimerions que vous nous décriviez vos parcours scolaires, professionnels et politiques. On commence par vous Monsieur Gourmo LO
J’ai fait mon école primaire à Nouakchott (Ecole du marché), Kaëdi et Boghé. Ensuite j’ai fréquenté le collège de Boghé puis le lycée de Nouakchott jusqu’au bac en 1975. J’ai poursuivi mes études de droit à l’université de Tunis et y ai obtenu la Maîtrise en 1979, puis à Nancy ( France) où j’ai soutenu une thèse de Doctorat d’Etat en Droit public en 1985 après un DEA, et après avoir été Auditeur à l’Académie de Droit International de la Haye et obtenu un Certificat de Relations internationales de Dubrovnik ( ex Yougoslavie) en 1981…
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Mbarka ne sait pas son age car elle ne détient aucun papier d’état civil , elle sait comment dire avec un grand courage comment elle a vécu son calvaire d’esclavage et comment elle a été victime de service sexuels par ses maîtres.
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L(SlateAfrique)e président de la République, Me Abdoulaye Wade, a reçu, le mercredi 9 mars 2011, durant deux heures, dans la résidence du Sénégal à Paris, les responsables du site SlateAfrique. Me Wade venait de s’entretenir longuement au téléphone avec le colonel Kadhafi, à qui il a demandé d’arrêter les bombardements sur les civils. Très disert, il pense déjà à la campagne présidentielle de 2012. Il a noté qu’il n’a pas d’héritier. Le Soleil vous offre l’intégralité de l’interview.
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Bruxelles, le 8 mars 2011 (CSI EnLigne) : Encouragés par les révolutions en Tunisie, puis en Egypte, les jeunes mauritaniens ont également lancé un mouvement de mobilisation pour le changement, intitulé 25 février. Trois centrales syndicales (CGTM, CNTM, CLTM.*), qui ne cessent de dénoncer de graves violations des droits des travailleurs, encouragent la population à descendre dans la rue et sont déterminées à enfin mettre le gouvernement devant ses responsabilités.
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Dans une longue interview accordée au site d’AVOMM, Mohamed Jemil Mansour, Président du Parti Tawassoul a abordé plusieurs questions, qui constituaient des zones d’ombres pour beaucoup de lecteurs. Nous vous livrons le contenu complet de l’entretien :
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Jemil Mansour est le leader du Rassemblement national pour la réforme et le développement (RNRD Tawassoul) un parti politique mauritanien d’obédience islamique. Nous l’avons rencontré mercredi 02 février vers 11 heures dans son bureau ou il suivait sur une chaine de télévision, les derniers développements de la situation en Egypte. L’entretien qui suit porte, entre autres, sur les révoltes populaires en Tunisie et en Egypte
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