Comme les autres membres des FLAM, Monsieur Ibrahim Mifo Sow, appartient à cette génération, qui a été contraint à l’exil par le régime de Maawiya Ould Sidi Ahmed Taya. Aujourd’hui, après plusieurs années passées à l’extérieur du pays, le vice Président des FLAM est de retour en Mauritanie pour préparer le redéploiement de son organisation, ainsi que celui du retour de Samba Thiam au terroir.
|
ALAKHBAR (Nouakchott)-Mon arrestation s’agissait d’un règlement de comptes pour l’Administration locale, a déclaré le notable Gando Dia, à sa libération après une semaine de détention suite aux récentes émeutes de Kaédi. Il répond aux questions de ALAKHBAR.
|
ALAKHBAR (Nouakchott)-Mon arrestation s’agissait d’un règlement de comptes pour l’Administration locale, a déclaré le notable Gando Dia, à sa libération après une semaine de détention suite aux récentes émeutes de Kaédi. Il répond aux questions de ALAKHBAR.
|
Le Calame : Vous avez organisé, il y a quelques temps, l’anniversaire du déclenchement des évènements de 1989. Quelle évaluation faites-vous de ce drame ?
|
Baba Moussa Sidibé, adjoint au Maire d’El Mina a été déferré en prison en compagnie de deux Maliens qui auraient bénéficié frauduleusement de l’enrôlement en cours grâce à son concours. Ces deux étrangers, Mohamed Lamine Bâ et Oumar Ibrahim Moussa ont été épinglés par Didi et ses hommes du CSPJ au cours d’un contrôle de routine.
|
Pour les politiciens, il est le doyen des opposants Mauritaniens. Pour les hommes de culture on le surnomme « Baba legnol ». Mais il s’agit de Mamadou Samba Diop dit « Mourtoudo », qui signifie en Poular un révolté contre toutes formes d'injustice. Mourtoudo a vu naitre tous les courants politiques Mauritaniens : Nassériens, Baathistes, Frères musulmans, Anti-esclavagistes (El Hor), Marxistes, Prosoviétiques, Prochinois, Provietnamiens, Pro-albanistes, et les Nationalistes « négro-mauritaniens ».
|
Né à Aleg en 1976, Abdoul Birane Wane a fait très tôt de la politique. À 15 ans, il intègre l’Union des forces démocratiques (UFD), qu’il quittera plus tard pour défendre la cause negro-mauritanienne contre un système qu’il qualifie souvent de « raciste et ségrégationniste » à travers l’Alliance pour une Mauritanie nouvelle, puis l’Alliance pour la justice et la démocratie/Mouvement pour la rénovation (ADJ/MR).
Cependant, vus ses multiples divergence avec les membres du Bureau Politique de l’AJD/MR, Mr Abdoul Birane Wane quittera, lui et ses amis pour fonder l'Initiative Mauritanienne pour l'Egalité et la Justice (IMEJ) où il aura l’honneur d’occuper le poste de vice- président.
Comme une étoile naissante, Monsieur Abdoul Birane Wane, qui jusque là était inconnu du public mauritanien, émergera, pour dénoncer un processus d’enrôlement des citoyens à vocations civiles, jugé raciste par des organisations citoyennes regroupés sous forme de collectif, appelé « Touche pas à ma Nationalité », qui le désigneront comme coordinateur.
Depuis lors, comme quelqu’un qui a perdu le sommeil, il ne baisse pas son bâton de pèlerin, qui l’amène à porter toutes les causes dont sont victimes la communauté negro mauritanienne.
Monsieur Abdoul Birane, a voulu nous consacrer cette interview qu’il en soit remercié.
|
Essirage.net : Monsieur Biram Dah Abeid, vous êtes à la tête d’une organisation de défense des droits de l’homme. L’IRA a été créée pour la résurgence du mouvement abolitionniste. Mais on vous voit sur tous les fronts. Votre discours est teinté de politique puisque vous attaquez très souvent le régime incarné par Mohammed Ould Abdel Aziz. Votre organisation est-elle plus politique qu’humanitaire ?
|
Warning: copy(http://www.fr.essirage.net/images/stories/oumar mansour.jpg): failed to open stream: HTTP request failed! HTTP/1.1 400 Bad Request
in /www/htdocs/w00b6320/essirage_new/fr/arc/plugins/content/mavikthumbnails.php on line 402
Expert financier et promoteur de la finance islamique au Sénégal, Monsieur Mansour Ndiaye est Président du Mouvement Doole Yaakaar (la force de l’espoir), qui est né il y a Huit mois pour porter sa candidature pour les élections présidentielles de 2012.
|
Le gouvernement algérien a adopté, mardi, une nouvelle loi sur les partis visant à interdire le retour du Front islamique du salut sur la scène politique. L’alliance présidentielle, représentée par le Front de libération nationale (FLN), le Rassemblement national démocratique (RND) et le parti islamiste modéré du Mouvement de la société pour la paix (MSP), est accusée, par le Parti des Travailleurs (PT), de bloquer les réformes politiques du président Abdelaziz Bouteflika. Par ailleurs Louisa Hanoune, le leader du PT agite le spectre de l’ingérence politique. Ramdane Tazibt, député PT et Vice-président de l’Assemblée nationale s’explique. Interview.
|
|